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Pour les amoureux de la lecture, des bibliothèques, des livres et des mots. Ce blog soutient les libraires indépendants ainsi que le boycott d'Amazon.

Publié le par Agnès
Publié dans : #Lectures, #Policier

Un mot sur l'auteure (source : Polars Pourpres)

 

Magdalen Nabb est née en 1947 à Church, un village du Lancashire. Après des études d'art, elle enseigne la céramique. En 1975, elle visite Florence et, sous le charme de la ville, décide de s'y installer. C'est en 1981 qu'elle écrit son premier roman policier, Le Gentleman florentin, salué par Georges Simenon d'un retentissant bravissimo ! En 1982, Le Gentleman florentin est élu Meilleur premier roman policier par la British Crimes Writer's Association. Depuis, Magdalen Nabb a publié treize titres de la série Guarnaccia.

 

Au départ, ce livre avait tout pour me plaire : un meurtre, Florence, une enquête pas simple à résoudre... oui, il y a tout ça dans ce roman, cependant, malheureusement, je suis vraiment restée sur ma faim (pas comme l'adjudant Guarnaccia qui cède régulièrement à des crises de boulimie).

 

Prenons d'abord ce meurtre, j'ai rarement lu une mise en place aussi lente et confuse. Nous faisons la rencontre de Georgia Torrini qui avertit la police sans preuve bien réelle du drame qui a pu se dérouler. Passé ce moment assez déstabilisant par sa mollesse, nous voici enfin sur la scène du crime, avec un mari que tout désigne comme étant le coupable idéal.

 

Ensuite ? Entre un procès auquel Guarnaccia doit témoigner, qui réveille de vieux souvenirs chez lui et auquel j'ai eu bien du mal à m'intéresser, une intrigue qui avance péniblement avec un adjudant qui ne partage aucune idée réellement et qui a l'air de suivre l'enquête de loin... je n'ai pas vraiment trouvé d'intérêt à cette histoire.

 

Pourquoi ai-je continué ? Je voulais comprendre comment la victime était morte et ce qui avait conduit à son assassinat. Comble de l'ironie, je n'ai absolument rien compris au dénouement de l'histoire sur le décès de Celia Forbes car cela m'a semblé en contradiction avec les conclusions du légiste. De plus, les personnages ne m'ont pas convaincu dans leurs attitudes. Une chose est sûre, c'est une lecture frustrante mais pas marquante du tout en ce qui me concerne.

 

Pourquoi lire Meurtre à la villa Torrini ?

 

Pour ma part, je ne recommande pas ce livre, qui d'ailleurs ne semble pas être le meilleur de l'auteure. Si un jour Le gentleman florentin croise ma route, je le lirai mais je n'en fais pas une priorité.

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