Petit tour à la boite à livres et le moins que l'on puisse dire est que le livre que j'ai trouvé n'a rien à voir avec celui que j'ai déposé ! Je vous laisse découvrir cela juste en-dessous.
Voici ce que j'ai déposé :
Voici ce que j'ai pris :
- Normandie, Lieux d'inspiration, maisons et jardins d'écrivains de Jérôme Marcadé et Benoît Delplanque : et oui, ma Normandie se rappelle à mon bon souvenir même au Parc de la Méditerranée ! il est rare de trouver des beaux livres dans la boite à livres et là, forcément, il m'était difficile de résister à ce joli clin d'oeil. Si on excepte le fait que le 4ème de couverture est un peu râpé, le livre est en très bon état. Comme parfois j'en dépose qui sont quasi-neufs, je me dis qu'après tout, cet ouvrage peut rejoindre ma petite collection sur ma région d'origine, toujours chère à mon coeur.
Ayant déjà chroniqué un livre de Tatiana de Rosnay, je vous invite à vous rendre là
Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense
Bruce, plus ours qu'homme, plutôt misogyne et peu agréable est sauvé de la mort par une greffe de coeur.
Sa vie, jusqu'alors assez morne, change du tout au tout lorsqu'il se découvre de nouvelles passions et qu'il succombe aux charmes de l'art et de la Toscane.
Ce nouveau coeur qui bat en lui semble être la cause de ce renouveau. De nouveaux buts, de nouvelles aspirations... Alors que Bruce apprivoise sa nouvelle personnalité, la découverte de l'identité de son donneur va tout remettre en question...
Le sujet de la greffe d'organe, particulièrement lorsqu'il s'agit du coeur, m'intéresse beaucoup. Sur le même sujet, j'ai déjà lu De coeur inconnu de Charlotte Valandrey, et malheureusement, Le coeur d'une autre m'a semblé bien en-dessous.
Déjà, le personnage principal m'a juste donné l'impression d'être une caricature. Lorsque nous faisons connaissance avec lui, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est carrément antipathique et ne donne pas du tout envie que l'on s'intéresse à lui.
Lorsqu'arrive la greffe, il change profondément, et là aussi, j'ai ressenti une impression de "trop" Puis l'histoire se poursuit, apporte son lot de révélations, de romantisme... et je suis restée totalement en dehors de tout cela.
A aucun moment je n'ai véritablement retrouvé l'auteure que j'ai plusieurs fois apprécié avec plaisir. Vers la fin, j'ai mieux aimé l'intrigue mais lorsque j'ai terminé ma lecture, ma première impression a été "Tout ça pour ça ?"
J'aurais aimé un traitement plus subtil de ce sujet. Ici, j'ai juste vu une accumulation de lieux communs, peu d'originalité et un sentimentalisme un peu trop poussé.
Pourquoi lire Le coeur d'une autre ?
A mon avis, ce roman est loin d'être le meilleur de Tatiana de Rosnay. Je ne suis peut-être pas assez "romantique" pour ce genre d'histoire mais malheureusement je n'ai vraiment pas retrouvé le style de Rose ou la justesse des sentiments de Boomerang. Et on est également très loin de Elle s'appelait Sarah.
En tout cas, sur le sujet de la greffe cardiaque, on est ici dans une vision que je trouve très idéalisée et peu crédible. N'attendez pas trop de ce livre à ce sujet à mon sens.
Petit tour à la boite à livres dans le week-end, et voici ce que j'ai déposé :
Voici ce que j'ai trouvé :
- Pour quelques milliards et une roupie de Vikas Swarup : ce roman raconte l'histoire d'une vendeuse en électroménager qui se voit offrir un marché assez alléchant... et intriguant. Elle doit accomplir sept épreuves et un riche industriel lui lèguera tout ce qu'il possède. Ne connaissant pas ce livre, je suis allée faire un tour sur Livraddict et après avoir vu quelques avis enthousiastes, je l'ai pris. C'est ensuite que je me suis aperçue que son auteur est celui qui a écrit le livre dont a été tiré Slumdog Millionnaire, un film que j'ai beaucoup aimé. En plus, je n'ai pas encore d'auteur indien à mon actif, donc je suis d'autant plus contente d'avoir trouvé ce livre !
Tout d'abord, je tiens à remercier Babélio et les éditions Grand Angle pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique privilégiée.
Un mot sur les auteurs ( source : Editions Grand Angle)
Séverine Vidal : Après avoir été professeure des écoles, Séverine se consacre à l'écriture à plein temps dès la rentrée 2011. Son premier livre à destination de la jeunesse est paru en mars 2010 aux éditions Talents Hauts. Elle écrit des romans pour adolescents et jeunes adultes ( Sarbacane, Robert Laffont, Nathan ), des albums ( Gallimard, Milan, les Editions des Elephants ) et des BD ( Delcourt, Marabout). Elle anime des ateliers d'écriture ( écoles, collèges, lycées, centres sociaux, centres d'alphabétisation... ). Ses livres sont traduits à l'étranger et sont récompensés par de nombreux prix.
Victor L. Pinel : Originaire de Madrid, Victor est passionné de bandes dessinées depuis son plus jeune âge. Il fait ses premières armes à l'ESPID de Madrid où il y suivra une formation artistique. Ses premiers projets professionnels l'orientent rapidement vers des travaux de commande pour le secteur jeunesse, mais également dans le cinéma d'animation comme storyboarder et coloriste. Il dirige son premier court-métrage, Closed, sorti en 2015 et publiera en parallèle Les Petites Marées : Rose, troisième histoire de la collection créée par Séverine Vidal chez Les Enfants rouges. Son style tant délicat qu'épuré lui vient de ses influences multiples. Véritable touche à tout artistique, il s'inspire autant de Takehiko Inoue ( Slam Dunk, ... ) que de Frederik Peeters ( Aâma, ... ). Il arrive en 2020 dans le catalogue Grand Angle avec Puisqu'il faut des hommes sur un scénario de Philippe Pelaez et la collaboration continue puisqu'il revient avec Le Plongeon.
Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense
Yvonne vieillit, comme sa maison, comme son chien... veuve, elle se résout à aller habiter en EHPAD. Elle doit tout réapprendre, de nouvelles habitudes, de nouvelles têtes, et aussi un règlement auquel elle doit se soumettre.
Lucide, mais aussi pleine d'humour, Yvonne se bat au quotidien, aidée par son entourage et sa vision de la vie.
Je savais que ce sujet allait me toucher, encore plus en ces temps incertains qui isolent davantage les personnes âgées.
Mais tout d'abord, j'aimerais parler du dessin. Car c'est vrai, il est rare que l'on voit des seniors dans des BDs ou des romans graphiques. Le trait est vraiment beau, les personnages sont traités avec soin, sans caricature.
A ce graphisme, s'ajoute une histoire dont les mots sont choisis avec soin. Yvonne raconte sa tristesse, son mari qui lui manque tant, sa peur d'oublier... mais elle aussi drôle, provocante, et n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds.
J'ai beaucoup aimé ses réactions, sa volonté. C'est une grand-mère attachante et certaines scènes m'ont émi aux larmes tellement elles étaient touchantes et réalistes.
Le plongeon, c'est celui ultime d'Yvonne et de sa bande d'amis. Celui dans la dernière phase de sa vie, celle qui lui semblait la plus désolante mais qui comprend encore de beaux moments. Car jusqu'au bout, on peut être surpris par le destin...
Pourquoi lire Le plongeon ?
Cette BD est une réelle plongée dans le quotidien de nombreuses personnes âgées. Il est difficile d'imaginer comme ce départ en EHPAD est dur psychologiquement, surtout pour une personne qui n'est diminuée ni physiquement, ni mentalement.
Ici rien ne nous est épargné, mais il y a aussi de beaux moments, l'amour est loin d'être absent, ainsi que l'amitié. Ces tranches de vie sont tour à tour amusantes ou poignantes.
Honnêtement, vous y perdriez beaucoup à ne pas faire la connaissance d'Yvonne et compagnie, alors qu'attendez-vous ? Jetez-vous à l'eau !
- C'est une chose étrange à la fin que le monde de Jean d'Ormesson : Je me rappelle avoir été fascinée par chaque apparition de Jean d'Ormesson. Il me fait un peu le même effet que Sylvain Tesson, c'est quelqu'un que j'aurais pu écouter pendant des heures. Ces yeux bleus, ce sourire, cette érudition... mais pour le moment, je n'ai pas encore franchi le pas de lire ces écrits de ce grand monsieur. J'ai bien un autre livre de lui dans ma PAL, mais il attend son tour ( Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit ). Dans un tout autre genre que Murakami, D'Ormesson m'impressionne, mais en même temps, j'ai hâte de le découvrir.
Tout d'abord, je tiens à remercier Babélio et les éditions l'Archipel pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la masse critique de décembre.
Un mot sur l'auteur
Hugues Vassal a couvert l'actualité des stars, en binôme avec Gérard de Villiers, Jean Noli et Paul Bonnecarrère pour l'hebdomadaire France Dimanche. En 1996, il a fondé l'agence Gamma avec Hubert Henrotte, Léonard de Raemy, Gilles Caron et Raymond Depardon.
Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense
Photographe pour France Dimanche, Hugues Vassal se voit confier un reportage photo avec Edith Piaf. Cette rencontre déterminante va lancer sa carrière. Françoise Hardy, Claude François, Johnny Hallyday... pas une star de l'époque n'échappe à son oeil aiguisé et à son sens de la mise en scène.
A traves ce recueil de photos, c'est tout une époque qui défile sous nos yeux. Souvenirs, souvenirs, comme le chantait Johnny...
J'ai grandi avec les chansons des artistes qui parsèment ce livre. Hugues Aufray (qui a connu Hugues Vassal au collège), Guy Béart, Dalida... tous ces chanteurs dont on écoutait les disques, dont on guettait les passages à la télévision.
Ce qui rend cet ouvrage particulier, ce sont avant tout, bien sûr, les photos de Hugues Vassal. Ses portraits sont magnifiques, ainsi que les clichés nous montrant ces vedettes en toute simplicité : en famille, en vacances...
On oublie vite qu'à l'époque déjà, les moindres potins font vendre, et que chaque événement de la vie est monté en épingle. Les textes, un par artiste, nous rappellent souvent que derrière le succès, certaines histoires sont difficiles. La pression, la gloire soudaine, la fragilité ont ainsi eu raison de Mike Brant ou de Dalida. Certains ont choisi de prendre un autre chemin comme Antoine.
Quoi qu'il en soit, grâce à des photographes comme Hugues Vassal, ces étoiles ne cesseront jamais de briller.
Vous l'avez deviné, j'ai aimé ce livre qui m'a fait redécouvrir ces stars sous d'autres aspects. Ma série de photo préférée est celle d'Edith Piaf, souriante, espiègle même, bien loin de l'image que l'on s'en fait parfois.
Pourquoi lire Dans l'intimité des stars de la chanson ?
Cet ouvrage est plutôt à regarder, à picorer tranquillement. Si la nostalgie des yéyés vous prend, que vous vous rappelez des Carpentier, de l'insouciance, des fans qui cassaient des fauteuils... Ouvrez ce livre et rappelez-vous de chacun d'entre eux, nul doute que certaines chansons vous reviendront en mémoire.
Pour être exacte, j'y suis allée le 09/01, mais passons ce petite détail ! Voici ce que j'ai déposé :
Et voici ce que j'ai pris :
- Kafka sur le rivage de Haruki Murakami : Murakami est je l'avoue un auteur qui "me fait peur". J'avais déjà eu l'opportunité de prendre un roman de lui dans une boite à livres mais je n'avais pas franchi le pas (je ne sais plus lequel c'était, peut-être un tome de 1Q84, je ne suis plus sure...). Bref, cette fois-ci, je me suis dit "allez pourquoi pas ?" et me voici avec 638 pages qui je l'espère me plairont !
Ce petit article récurrent vous permet de connaitre les 5 prochains livres qui se trouvent dans ma PAL (Pile A Lire). Celle-ci regroupe à présent tous les livres que j'achète (neuf ou occasion) ou que l'on m'offre. Ceux que que je trouve dans la boite à livres sont à présent dans une PAL parallèe (et oui...). Je lis donc en permanence 2 livres : un issu de ma PAL "classique" et un issu de ma PAL "boite à livres". Parfois, un 3ème qui vient d'une masse critique Babélio s'ajoute.
- Tout un été sans Facebook de Romain Puértolas
Et voici le dernier Puértolas de ma PAL à ce jouer ! l'action se passe à New York, Colorado, oui oui c'est pas le même du tout, en compagnie d'Agatha Crispies, une flic noire dans une ville plutôt raciste. Comme toujours, je me demande ce que me réserve cette histoire abracadabrante !
- Océan Mer d'Alessandro Baricco
J'ai lu il y a longtemps City de cet auteur, je me rappelle avoir aimé son écriture même si je suis bien incapable de dire de quoi parlait ce livre ! si je me souviens un peu, c'est assez contemplatif, ce qui me plait assez, quand c'est bien écrit bien sur.
- Complètement cramé ! de Gilles Legardinier
Etant donné que cet auteur a le don de m'émouvoir et de me faire oublier les tracas de la vie grâce à ses livres, je me rappelle avoir été bien contente de trouver ce roman, quasi neuf, dans le kiosque à livres de Saint-Cyr-Sur-Mer. Je sais par avance que je passerai un bon moment.
- Ca peut pas rater ! de Gilles Legardinier
Trouvé le même jour que Complètement cramé ! difficile de résister à la tentation d'ajouter un Gilles Legardinier à ma PAL. Mais dans les contexte actuel, on a besoin de joie n'est-ce pas ? euh... en fait, on a toujours besoin.
- Le livre sans nom - Anonyme
Je ne connaissais rien de ce début de saga lorsque j'ai trouvé ce livre dans le kiosque à livres de Saint-Cyr-sur-Mer. A présent il y a 8 tomes, pour quelqu'un qui n'aime pas trop les séries je suis mal barrée si je me laisse embarquer par l'univers et l'histoire !
Lorsque la dernier guerre vint bouleverser le monde, Felice Benuzzi était fonctionnaire du Gouvernement italien en Ethiopie. Fait prisonnier lors de l'occupation de l'Afrique par les Alliés, il fut envoyé dans un camp de concentration au Kenya. Originaire de Trieste, il avait appris à aimer la montagne et fait ses premières armes dans les Alpes Juliennes. Son livre publié par "l'Eroica" de Milan, est le récit de cette fugue aventureuse sur le Kenya où il fut poussé, avec deux compagnons, par la nostalgie poignante de la montagne.
Benuzzi, hier encore inconnu, ou presque, se révèle d'un coup, et la figure ainsi révélée est bien celle d'un "homme véritable". Et les alpinistes, à cette rencontre, quelle que soit la montagne qui la provoque, quelle que soit leur nationalité, éprouvent comme un plaisir, comme un orgueil que "l'homme véritable" soit fait de la sorte. Un homme qui laisse entrevoir sa manière propre de vivre et d'agir à travers un texte qui est un peu comme l'homme lui-même : complet. Ici vivace et pénétrant, là aéré, ample, descriptif, tantôt sérieux, nourri de citations et de références, tantôt ironique, allègre, enthousiaste, toujours direct et sincère, jamais, au grand jamais, banal. Répétons-le : complet, comme l'homme...
Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense
Capturé et enfermé dans un camp de prisonniers de guerre au pied du mont Kenya, Felice Benuzzi a l'idée folle de gravir ce sommet presque vierge. Rejoint par deux camarades, la petite équipe se prépare pendant des mois à cette ascension.
Sans réelle préparation physique, avec des vivres réduites au minimum, les trois hommes devront puiser au plus profond d'eux-mêmes pour atteindre leur but.
Ce livre fait partie de ces récits d'aventure, d'autant plus touchants et incroyable qu'il s'agit d'une histoire vraie. L'auteur nous raconte d'abord les préparatifs de l'expédition : la récupération du matériel, la reconnaissance (à distance) du terrain, au travers d'articles de journaux, de dessin sur une boite de conserve... la constitution d'une réserve de nourriture... Bref, tout ce qui est nécessaire à une telle expédition.
Puis vient le départ et c'est ici que l'on mesure tout à la fois le courage et la belle imprudence des trois hommes. Avec souvent beaucoup d'humour, ils font face aux difficultés, sans (presque) jamais renoncer.
Il est difficile de se mettre à leur place, mais il est simple d'admirer leur ténacité. De prisonniers, ils passent au statut d'hommes libres et persévérants. L'aventure est dure, ne leur laisse aucun répit et pourtant ils s'accrochent et dépassent toutes les limites imposées par leur corps.
Au-delà d'un récit d'alpinisme, il s'agit d'une histoire très humaine qui prouve que d'une situation difficile, on peut s'en sortir en se trouvant un but qui domine tout, et permet de se surpasser.
Parfois, certains passages peuvent sembler un peu longs mais j'ai aimé en apprendre autant sur le Kenya. Oui, il y a parfois un accent colonialiste dans certaines réflexions (peut-être est-ce moins le cas dans l'édition récente mais la mienne date de 1950). Cependant, ces défauts ne doivent pas effacer l'exploit inédit et incroyable de ces trois prisonniers italiens.
Pourquoi lire Kenya ou la fugue africaine ?
Je ne suis pas alpiniste, et pour tout avouer, j'ai même le vertige. Mais comment rester insensible face à un tel récit ? J'aime les aventures, encore plus quand elles sont vraies. J'aime les défis fous que se lancent certains hommes.
Et si vous aussi aimez lire de telles histoires et comprendre ce qu'éprouvent les hommes qui sont capables de tels exploits, ce roman est fait pour vous.
Pour débuter une nouvelle série de rendez-vous pour cette nouvelle année, vous allez voir, c'est de la grande littérature. Voici ce que j'ai déposé aujourd'hui :
Et voici ce que j'ai pris :
Qu'entends-je ? vous pensez que 2021 me trouve en bien piètre état et que je régresse dans mes lectures ? mais pas du tout ! déjà, à part une pile de Picsou Magazine, il n'y avait rien de bien intéressant cette semaine si vous aimez la lecture un peu contemporaine (non je ne suis toujours pas adepte de la littérature des Témoins de Jéhovah ou du guide de la correspondance daté des années 60).
Donc oui, je l'assume, je suis retombée en enfance (cela dit, ai-je vraiment cessé d'aimer lire Picsou Magazine un jour ?) j'ai donc craqué et emporté 3 exemplaires. Cela dit, le numéro des 50 ans me permet de relire la BD dans laquelle notre milliardaire préféré fait sa première apparition et chaque fois me trotte dans la tête la belle collection de BD regroupant les aventures de mes canards préférés dessinées par Carl Barks... hum, il me faudrait une autre bibliothèque si j'en faisais l'acquisition !
Vous l'aurez compris, je suis une fan de Picsou, Donald et compagnie que j'ai toujours trouvé beaucoup plus funs que Mickey et ses amis. Sans doute parce que Donald est un éternel ronchon, pas mal à côté de la plaque, mais tellement drôle. Que voulez-vous, j'ai toujours aimé les râleurs puisque mon tennisman préféré était John McEnroe, aucun rapport ? ben vous l'avez jamais vu s'énerver sur l'arbitre !