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Pour les amoureux de la lecture, des bibliothèques, des livres et des mots. Ce blog soutient les libraires indépendants ainsi que le boycott d'Amazon.

Publié le par Agnès
Publié dans : #Autour de la lecture

Aujourd'hui, j'ai décidé d'inaugurer une nouvelle rubrique sur ce blog : Le rendez-vous de la boite à livres.

 

Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, dans de nombreuses villes, des associations, parfois la mairie elle-même, mettent à disposition des habitants des boites à livres. Chacun peut déposer, lire, ramener, ou pas, des livres dans celles-ci.

 

Auparavant, j'habitais à Saint-Cyr-Sur-Mer où ce principe existe, mais uniquement l'été (il y a quelques livres à l'office du tourisme ou dans certains commerces, mais en petites quantités). Pendant la saison estivale, de jolis kiosques sont installés en bord de mer. La bibliothèque y dépose les livres qui sortent des fonds, puis ils sont alimentés par les habitants ou les touristes et j'y ai fait de belles trouvailles.

 

A présent, j'habite à Six-Fours-Les-Plages et j'ai l'immense chance d'avoir une boite à livres à moins de 5 minutes de chez moi. Cela m'a amené à prendre une décision qui était difficile dans ma vie de lectrice : toutes les semaines, je me sépare de 3 livres, et si jamais j'en trouve qui m'intéressent dans la boite, je ne dois pas en prendre plus que ce que je dépose. En général, ma visite hebdomadaire se fait le vendredi.

 

Cela me force aussi à accélérer mon rythme de lecture, jusque là bien lent. Le but étant que je remette dans la boite à livres les ouvrages que je prends. Ainsi je ne vais garder dans ma bibliothèque que les livres qui me tiennent réellement à cœur. 

 

Je vous propose donc de découvrir les livres que j'ai déposé aujourd'hui :

 

Par contre, je n'ai rien trouvé qui m'intéressait, il y avait un Michael Connelly qui m'a fait hésiter, et j'ai failli prendre un James Patterson mais j'ai déjà un des tomes du Women murder club dans ma pile à lire, je suis donc restée sage et je suis repartie sans rien emporter !

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Publié le par Agnès
Publié dans : #Lectures

Un mot sur l'auteur

Même si Amélie Nothomb est une des auteures francophones les plus connues, tiens à écrire quelques mots sur elle.

 

Née en Belgique en 1966, elle écrit sous le nom d'Amélie Nothomb, son vrai nom étant Fabienne Claire Nothomb.

 

Depuis 1992, elle publie un roman par an, même si elle en écrit en moyenne quatre. Cependant, elle ne souhaite pas publier ses autres écrits, et dit avoir pris ses dispositions pour que cela n'arrive pas.

 

Ses romans sont en général plutôt courts et aux styles assez variés, même si de grands thèmes sont présents : la différence, l'écriture, la lecture, le langage...

 

Entre romans autobiographiques comme Stupeur et tremblements ou Biographie de la faim, et romans aux thèmes divers, Amélie Nothomb ne laisse pas indifférent.

 

Parfois décriée, elle poursuit sa route, et personnellement, ce n'est pas pour me déplaire.

 

Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense

Acide sulfurique est une dystopie qui se passe dans un futur proche ou une réalité alternative. Dans ce roman, nous suivons l'émission de télé-réalité "Concentration". Dans celle-ci, des prisonniers sont mis à mort chaque jour et sont maltraités par des kapos. Afin d'alimenter l'émission en participants, des rafles sont organisées.

 

Parmi les détenus, la mystérieuse Pannonique (matricule CKZ 114). Parmi les bourreaux, la kapo Zdena, une brute qui va pourtant être fascinée par CKZ 114.

 

Dans cet environnement horrible, comment CKZ 114 va-t-elle trouver la force d'avancer et surtout comment va-t-elle survivre ?

 

Amélie Nothomb a pour moi su avec ce roman trouver un ton qui me convient. Pas trop de digressions philosophiques ou intellos (j'ai adoré Les catilinaires, mais certaines pages "se la racontaient" vraiment), j'ai trouvé la progression de Pannonique très intéressante à suivre.

 

En parallèle, on voit également Zdena évoluer. Son personnage est d'emblée détestable, mais son obsession pour CKZ 114 va l'obliger à réfléchir sur elle-même, et sur les autres.

 

Tout au long de ce livre, c'est une réflexion sur chacun de nos actes, aussi anodins que le choix d'un programme télé ou appeler quelqu'un par son nom, qui est proposée.

 

"Concentration" n'existe pas, mais pour éviter de telles dérives, ne devons-nous pas tout faire pour que cela n'arrive jamais ?

 

Pourquoi lire Acide sulfurique ?

En me renseignant sur ce livre après l'avoir terminé, j'ai appris qu'il avait créé une polémique à sa sortie et qu'Amélie Nothomb avait du s'expliquer à ce sujet.

 

Personnellement, je prends cette dystopie pour ce qu'elle est, un avertissement ! Après tout, nous sommes à présent avec les réseaux sociaux dans une ère où tout se sait, se partage, et échappe au contrôle. Bien sûr, "Concentration" représente tout ce qu'il y aurait de plus abject : une télé-réalité qui va jusqu'à exécuter des prisonniers comme cela se faisait pendant la seconde guerre mondiale. Mais ne nous y trompons pas, notre société choisit des victimes tous les jours sur Internet, et parfois, celles-ci en meurent.

 

Acide sulfurique peut choquer, c'est certain, mais ce livre est aussi empreint d'humanité, d'espoir, et même d'humour.

 

Si vous voulez voir à quoi ressemble le style d'Amélie Nothomb, je le recommande car il fait pour l'instant partie de mes préférés.

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Publié le par Agnès
Publié dans : #Lectures

Un mot sur l'auteur

Donato Carrisi est un romancier, journaliste, dramaturge et scénariste italien, auteur de romans policiers.

 

Il a d'abord été juriste de formation, spécialisé en criminologie et sciences du comportement. Il a également écrit une thèse sur Luigi Chiatti, un tueur en série italien.

 

En 1999, il se tourne vers l'écriture de scénarios et est un collaborateur régulier du quotidien milanais Corriere della Sera.

 

Le chuchoteur est son premier roman policier. Celui-ci a rencontré un grand succès et a remporté plusieurs prix dont le prix SNCF du polar européen en 2011, et le prix des lecteurs Livre de Poche la même année.

 

En 2017, il a réalisé son premier film : La fille dans le brouillard, adapté d'un de ses romans. Il a remporté le prix du meilleur réalisateur débutant à la 63ème cérémonie des David di Donatello.

 

Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense

 

Un cimetière de bras. Uniquement les bras gauches de petites filles disparues. Puis un sixième. Pour identifier celui-ci, l'équipe du criminologue Goran Gavila fait appel à Mila Vasquez qui est experte pour retrouver des enfants disparus.

 

De fausses pistes en découvertes macabres, l'équipe va se retrouver confrontée à la noirceur de l'être humain.

 

Dieu se tait, le diable murmure... mais qui chuchote à l'oreille des assassins ?

 

Le sujet de ce thriller est terriblement dur, même si l'auteur ne s'étend pas sur des descriptions sans fin. On passe d'un meurtrier à l'autre en partageant la rage impuissante des enquêteurs face à tant d'horreur.

 

L'équipe est composée de personnalités fortes. Il y d'abord Goran Gavila, un criminologue suivi par ses collaborateurs aveuglément car reconnu comme une référence dans son domaine. Klaus Boris, spécialiste des interrogatoires. Stern, le plus gradé, agent informatif, "mémoire" du groupe. Sarah Rosa, l'experte en informatique. A cette équipe s'ajoute Mila Vasquez, celle qui retrouve les enfants disparus.

 

Au-dessus d'eux l'inspecteur-chef Roche semble n'avoir que peu de prise sur leurs décisions. Son attitude m'a parfois fait penser à Mellberg dans la série des Camilla Läckberg.

 

Tout au long de ce roman, les enquêteurs sont confrontés à de multiples théories et chacun y fait face selon son caractère. Mila, en tant que "pièce rapportée" doit affronter l'hostilité d'une Sarah Rosa qui ne manque jamais une occasion de l'humilier. Tous veulent retrouver la sixième fillette et la sauver mais personne ne peut soupçonner la vérité.

 

Si j'ai aimé la grande majorité de l'histoire et ai été surprise jusqu'aux dernières pages, certains éléments vers la résolution de l'intrigue m'ont agacée. Je regrette qu'avec les héroïnes féminines, certains événements se répètent d'un auteur à l'autre... mais je n'en dirai pas plus à ce propos.

 

Sur le déroulement de l'intrigue, on sent que Donato Carrisi connaît très bien son sujet . Et on a froid dans le dos lorsqu'on apprend qu'il s'est inspiré de faits réels pour ce roman.

 

Pourquoi lire Le chuchoteur ?

 

Ce thriller est bien construit et l'histoire, bien que difficile, est très intéressante à suivre. Rien n'est figé et les surprises sont nombreuses. Certains regrettent l'incursion d'une part de surnaturel, pour ma part, cela ne m'a pas gêné.

 

J'ai aimé cette lecture, malgré quelques clichés sur la fin, et si vous êtes amateur de thriller noir, nul doute que ce roman vous conviendra. 

 

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Publié le par Agnès
Publié dans : #Lectures

Un mot sur l'auteur

Ruth Rendell est une auteure britannique qui a écrit essentiellement des romans policiers et psychologiques. Elle a également écrit sous le pseudonyme de Barbara Vine.

 

Née en 1930, son premier roman sera publié en 1964, c'est dans celui-ci que son héros Reginald Wexford fait son apparition.

 

En parallèle de ses romans policiers, elle publie des œuvres psychologiques.

 

Sous son pseudonyme Barbara Vine, elle creuse encore le côté psychologique en insistant par exemple sur les effets secondaires des secrets et des crimes.

 

Son œuvre a été couronnée par de nombreux prix et a aussi été l'objet d'adaptations cinématographiques. Parmi celles-ci, on peut citer Almodovar (En chair et en os), Claude Miller (Betty Fisher et autres histoires) ou François Ozon (Une nouvelle amie).

 

Que raconte ce livre et ce que j'en pense

Lorsqu'Eugene Wren, un homme plutôt aisé, trouve une enveloppe contenant une certaine somme d'argent, il décide de coller une annonce pour retrouver son propriétaire.

 

A cause de ce geste, son destin va croiser celui de personnes plus ou moins bien intentionnées. Sa fiancée, Ella, va elle aussi se trouver embarquée malgré elle, et bientôt elle devra faire face à un étrange cas que son expérience de médecin ne suffira pas à éclaircir.

 

Quel sera le destin de ces personnes dont le point est d'habiter le quartier londonien animé de Portobello ?

 

Lorsque j'ai lu le résumé de ce livre, je pensais qu'une bonne partie de l'histoire serait consacrée à découvrir à qui appartenait l'argent trouvé par Eugene Wren.

 

Malheureusement, j'ai d'abord eu du mal à suivre l'enchainement des paragraphes nous décrivant les différents protagonistes. Ensuite, je me suis interrogée pendant longtemps sur l'époque à laquelle se déroulait l'histoire. Au final, celle-ci est censée être contemporaine mais les personnages m'ont tous semblé "datés" et d'une autre époque.

 

Eugene est un galeriste d'art, il ne se déplace qu'en taxi ou à pieds et a une passion coupable pour des bonbons sans sucre, les Chocorange. Autant vous prévenir tout de suite, l'auteure s'étend en long, en large et en travers sur cette manie. Eugene culpabilise d'en manger autant, Eugene veut arrêter, puis Eugene fait le tour des magasins pour constituer un stock. Et il en planque partout, a peur que sa compagne les trouve... Je pense que si on retire les pages qui parlent de ces fichus bonbons, le livre perd pas mal d'épaisseur !

 

Les autres personnages ?

 

Lance Platt, un petit voleur pas malin qui a frappé sa petite amie, et qui est hébergé par son oncle, un membre d'une sorte de secte "Les enfants de Zabulon". Cet homme charmant est un ancien escroc qui prêche à présent la bonne parole tout en méprisant ouvertement son neveu.

 

Le personnage le plus intéressant est Ella, la compagne d'Eugene, médecin de sa profession. Suite à l'annonce qu'il a passé concernant l'argent qu'il a trouvé, elle va rencontrer un nouveau patient, Joel Roseman, un homme pour le moins étrange.

 

Cette partie du roman est la plus intéressante, mais je n'ai pas vraiment compris quelle était l'intention de l'auteure à ce sujet.

 

Pourquoi lire Portobello ?

Honnêtement, je ne sais pas ! L'écriture ne m'a pas passionnée, les personnages ne sont pas très attachants et l'histoire est polluée par des détails qui n'apportent pas grand chose.

 

Ruth Rendell est cependant une auteure réputée, je pense que je ne suis pas tombée sur le bon roman pour la découvrir.

 

Si vous avez d'autres livres à me conseiller, je vous invite à me faire changer d'avis !

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Publié le par Agnès
Publié dans : #Autour de la lecture

Comme toute bonne lectrice qui se respecte, j'ai toujours pas mal de livres qui attendent leur tour dans ma pile à lire (abrégée en PAL un peu partout).

Là-dessus, je suis carrément psycho-rigide, si, si, n'ayons pas peur des mots ! c'est à dire que quand j'ajoute un nouveau livre dans ma PAL, il sera lu selon son ordre d'arrivée dans celle-ci. Ce n'est pas très clair ? je vous explique :

Ma PAL a grimpé de façon spectaculaire en 2018 et atteint à présent 79 livres ! comme je ne lis pas très très vite, il y a actuellement un délai d'environ 2 ans et quelques poussières entre l'instant où un livre rejoint ma PAL et celui où je l'ouvre...

Ce délai assez long vient aussi du fait que je n'ai que peu de livres courts dans ma PAL, il n'y en a pas beaucoup qui font moins de 400 pages.

Ce suivi m'aidera donc à voir si je progresse (ou pas), et vous permettra de connaître mes futures lectures. 

 

- A l'aveuglette de Patricia Wentworth

 

J'ai été intriguée par le résumé de ce livre, et je n'ai jamais lu de roman de cet auteur. Encore un policier/thriller, mon genre préféré. J'avoue qu'en plus du résumé plutôt sympathique, j'ai été attirée par cette couverture mystérieuse... et par l'édition, 10/18 étant une maison d'édition que j'affectionne particulièrement, notamment pour sa collection Grands détectives.

- Même les cow-girls ont du vague à l'âme de Tom Robbins

 

Bizarrement, le 4ème de couverture me fait penser à Romain Puértolas... une histoire un peu loufoque avec une nana dotée de très grands pouces qui décide de devenir la plus grande auto-stoppeuse des Etats-Unis. J'espère que ce livre saura me faire rire et me surprendre ! (tiens, c'est encore un 10/18, ça alors !)

- Biscotti à Sarasota de Stuart Kaminsky

 

Un héros plutôt atypique (un quadragénaire veuf et dépressif) qui joue les enquêteurs pour arrondir les fins de mois... rien qu'avec le début du résumé, j'ai craqué pour ce roman. En plus Rivages/Noir, un peu comme 10/18 me séduit facilement avec ses couvertures reconnaissables et souvent présages de bon moment de lecture. Vivement !

 

- La consolante d'Anna Gavalda

 

Entre 2 policiers ou thrillers, je m'étais dit qu'un petit détour par Anna Gavalda était une bonne idée. Je n'ai lu d'elle qu'un recueil de nouvelles, et même si dans l'ensemble j'avais bien aimé, je me rappelle que je n'avais pas pu me faire une idée précise de son écriture. J'espère que je l'aimerai car ce livre est un beau pavé !

 

 

- Le dragon du Trocadéro de Claude Izner

 

Je l'avoue, le résumé, l'époque, tout me fait penser aux livres de Brigitte Aubert, et j'aime beaucoup cette auteure. J'ai découvert il y a peu que Claude Izner est en fait le pseudo de deux sœurs écrivain. J'ai hâte de faire la connaissance de l'enquêteur Victor Legris !

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Publié le par Agnès
Publié dans : #Lectures

Tout d'abord, je tiens à remercier Babélio et les Editions Téqui pour l'envoi de ce livre suite à ma participation à la masse critique de février.

Un mot sur l'auteur 

 

Thierry Delcourt est directeur dans un grand groupe industriel. Il enseigne le management à l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr Coëtquidan depuis trente ans.

 

Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense

 

Rendre les salariés heureux (Etre un bon chef face à la crise du management) est un livre qui donne des clés afin de guider les managers dans leur difficile mission.

A travers 15 chapitres clairs et efficaces, Thierry Delcourt partage son expérience à travers des anecdotes vécues ou rapportées. Et même si cet ouvrage s'adresse plutôt à des civils, bon nombre de grands chefs militaires sont également évoqués.

A la fin du livre, "La confiance en 12 commandements" récapitule l'essentiel à retenir pour être un bon manager.

J'ai aimé le fait que les chapitres soient assez courts et émaillés de faits concrets. Ainsi, on peut se projeter dans des situations réelles et voir comment des conflits ont pu être désamorcés. On rencontre également des cas qui ont "mal fini", et les erreurs à ne pas commettre.

Personnellement, je ne suis pas manager, mais de nombreux exemples m'ont permis de constater que le management de mon entreprise correspond (malheureusement) à ce qui ne doit pas être fait.

Effectivement, la société dans laquelle je travaille est florissante, mais multiplie les contrôles et reportings sans tenir compte des informations ascendantes. Si cela n'est pas forcément rassurant, j'ai pu me rendre compte grâce à cet ouvrage que tout n'est donc pas "de ma faute".

Comme le rappelle souvent l'auteur, les salariés français ne sont vraiment pas les plus heureux d'Europe. Hors, un salarié malheureux au travail est au mieux démotivé, au pire en arrêt suite à un burn-out.

Ce genre d'ouvrage devrait donc être lu le plus possible par les managers afin de prendre conscience qu'il faut se soucier du bien-être afin d'obtenir le meilleur de ses équipes.

 

Pourquoi lire Rendre les salariés heureux ?

 

Que vous soyez manager ou salarié, ce livre vous éclairera sur certaines clés indispensables pour être un bon chef.

Personnellement, bien qu'ayant plus de 10 ans d'expérience à mon poste, je n'osais pas, avant d'entamer cet ouvrage, me positionner sur un emploi de responsable.

Mais plus j'avançais dans ma lecture, plus je voyais que tout ce qui était énoncé correspondait à ce que j'attends moi-même d'un manager.

Bien sûr, je ne le deviendrai pas du jour au lendemain, et évidemment, si cela arrive, je ferai sans doute des erreurs. Mais grâce aux conseils de Thierry Delcourt, je me sens à présent prête à franchir le pas

Et vous ? Pourquoi ne pas essayer ?

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