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Un mot sur l'auteure :
Je vous invite à lire la biographie de Juliette Benzoni ici puisque j'ai déjà chroniqué quelques-uns de ses romans.
Ce que raconte ce livre et ce que j'en pense
Anne-Laure de Pontallec n'est plus, afin de se protéger et d'assurer un soutien au baron de Batz, c'est à présent sous le nom de Laura Adams que la jeune fille survit.
Alors que le pays est toujours sous le règne de la Terreur, le baron n'abandonne pas l'espoir de sauver la Reine et ses enfants.
Tout entier dévoué à cette cause, saura-t-il trouver le temps de retracer le parcours de Laura qui a disparu, et de sauver Marie, sa courageuse compagne ?
Dans ce tome, l'ancienne Anne-Laure disparait au profit de Laura, rendant ce personnage beaucoup plus sure d'elle et bien moins effacé.
On retrouve également à ses côté le fidèle Jaouen, toujours aussi déterminé à la défendre et définitivement ennemi de Batz, bien qu'il s'adapte au dévouement de Laura à la cause du baron.
La Terreur tient une grande place dans ce roman qui se termine avec la messe rouge, une exécution de grande envergure qui fit plus de 50 victimes, e tous âges et d'origines diverses.
En cette période plus que troublée, Jean de Batz, envers et contre tout, fait tout pour sauver la famille royale, ou du moins ce qu'il en reste.
De son côté, Laura se débat, tant bien que mal, son désir profond serait de sauver la princesse Marie-Thérèse et lui donner l'amour qu'elle réservait autrefois à sa défunte fille.
Entre complots, morceaux de bravoure et émotion, c'est encore un roman palpitant que cette Messe rouge, malgré un contexte plus que difficile.
Pourquoi lire La messe rouge ?
Les aventures de Laura et de Jean de Batz, toujours liées à la grande Histoire sont réellement plaisantes à lire.
Le personnage d'Eulalie de Sainte-Alférine apparait ici et prend toute son ampleur.
Encore une fois, un bon cru de Juliette Benzoni !